Messages les plus consultés

mercredi 31 août 2011

Sahadath Sourokou devient Miss Bénin 2011


«Tout est bien qui fini bien». Fini le suspens, la plus belle femme du Bénin au titre de l'année 2011 est enfin connue. Elle a pour nom, Sahadath Sourokou et est originaire du département du Borgou. Agée de 24 ans, elle fait 1,70 mètre contre un poids de 60 kilogramme. Etudiante en troisième année d'administration et gestion des ressources humaines, cette jeune femme du septentrion ambitionne une brillante carrière de chanteuse ou d'actrice de cinéma. Marie Gérydine Sessi Houndjrebo est la première dauphine de cette élection. Dix neuf ans et étudiante en deuxième année de Sciences et techniques de l'information documentaire, cette native du département du Zou rêve d'une carrière d'archiviste. C'est à Saïzath Yacoubou, originaire du département de la Donga que revient le mérite du titre de deuxième dauphine de l'élection Miss Bénin 2011. Elle doit en partie son élection à ses 1,78 mètre de hauteur contre ses 63 kg de poids qui certainement ne sont pas passés inaperçus au cours de l'appréciation du jury. Outre ce trio de miss, une attention particulière a été portée à deux autres femmes de la compétition. Il s'agit de Cynthia Sandra Gangbo du département de l'Atlantique. Agée de 20 ans et étudiante en markéting à L'Eneam elle a été élue Miss Personnalité, pour son charisme et son élégance. Il en est de même pour Véronique Sessimé, élève en terminale qui s'est distinguée par sa courtoisie et son ouverture d'esprit. Elle se contente du titre de Miss sympathie à l'issue du concours Miss Bénin 2011.

mardi 26 avril 2011

Pélagie la vibreuse entre sexy danse et striptease ?


"Pélagie tu as le droity de choisir ne l'ou
Un artiste doit savoir faire vivre un public. Pour cela plusieurs possibilités s’offrent à lui. Faire du show pour tenir en haleine son public. Pélagie a trouvé la plus belle des manières pour égayer le public lors de la cérémonie du lancement de Fedethes 2011 au CS le "LICA". Dans un style très connu à l’artiste au lieu de bien faire son playback l’artiste a su combler les vides de sa musique avec des démonstrations de danse qu’il convient ici de qualifier de striptease. S’asseoir sur les genoux d’un homme et se tripoter jusqu'à exciter son bourreau peut être que l’artiste saura justifier ceci. Nous sommes en au Bénin et les bonnes mœurs ne sont pas pour les animaux. Il y a des lieux plus indiqués pour le stripteasme. Entre danse et striptease, Pélagie la Vibreuse doit choisir. Il faut aussi noter que notre star n’a pas de remord à faire un faux bon au public qu’elle a délibérément allumé la veille. Sa prestation du jeudi n’a pas pu se tenir et le public est resté sur sa soif pour cause, Pélagie n’y était pas au rendez-vous qu’elle a pourtant elle-même donné au public. Au tant de chose qui n’honore pas une vedette veut se faire une bonne renommée

Fedethes 2011 : l’art scolaire en péril


La neuvième édition  du festival départemental de théâtre scolaire (Fedethes) a eu lieu. Initialement prévu pour durer 72 heures, le festival n’a pu tenir que 48 heures faute de moyens. Rémy Adoho, promoteur dudit festival pointe un doigt accusateur aux autorités en charge de la culture. Mais il faut noter qu’en dépit de tout préjugé, l’on regrette l’amateurisme et la niaiserie dans l’écriture des pièces. Des histoires classiques sans un regard professionnel surtout sur les maux actuels de notre société. Ce qui nous amène à donner raison aux autorités qui ont refusé d’être complice du crime contre l’intelligentsia béninoise. L’art en milieu scolaire est en péril et il urge de venir à son rescousse avec des actions plus murs et bien étudiés la culture sans ma culture m’acculture a dit l’autre et la culture du savoir dans les milieux scolaires sans une  activité qui vise le développement du sens de l’imagination chez les scolaires est un crime à contre la couche juvénile. La neuvième édition du Fedethes a été simplement un désastre malgré les efforts tant consenti du groupe de jeunes dirigés par le directeur du Fedethes. Revoyez les copies pour les éditions prochaines.

Hector Djomaki le nouveau romancier béninois avec "La flamme du mensonge", un roman qui dévêt les stratagèmes d’une femme ambitieuse


"La flamme du mensonge", un roman qui dévêt les stratagèmes d’une femme ambitieuse
Les rayons des librairies ont été enrichi au cours du mois d’avril avec la sortie du roman "La flamme du mensonge" Hector Djomaki, étudiant en sciences économiques. La présentation aux lectorats a été assurée par Moïse Makponde journaliste de profession. C’est dans une ambiance bien sobre que la cérémonie du protocole de lancement a eu lieu à la salle de conférence de Codiam.  C’est dans un style très semblable à celui de l’écrivain Ivoirien Amadou Koné que le jeune auteur a rédigé ce livre sous les couleurs de la modernité avec des marques du réalisme.  Amour, ambition, trahison, infidélité, crime, sexualité, harcèlement, intrigue, injustice sont autant d’ingrédients qui font "La flamme du mensonge" dont la femme est l’épicentre. Passionnés des belles écritures de suspens un vrai plat de résistance pour votre croissance littéraire et sociale. Bonne lecture donc !

Fidèle Anato, le baobab a lancé son premier album de poésie musicale

Le baobab Fidèle Anato a étendu ses tentacules.
Le lancement de son premier album de poésie musicale n’a souffert d’aucune résistance. Même l’obscurité due au non disponibilité d’électricité n’a empêché le bon déroulement ni émoussé l’ardeur du chaleureux public qui a tenu être témoin de la cérémonie de lancement qui a eu lieu à l’espace Tchiff de Cotonou courant fin avril 2011. Artiste comédien polyvalent vient ainsi étendre ses tentacules dans le monde musical avec son album vidéo composé de huit clips appétissants. Intitulé « Ôxô » l’album est selon son auteur, le fruit de la frustration. Si le lancement a mobilisé plus de trois cent personnes, l’œuvre n’a pas été vendu à l’américaine comme on en a l’habitude. Un album d’une très bonne philosophie avec des paroles à guérir des maux dont souffre la société béninoise. Un album a écouté à tout prix.

vendredi 15 avril 2011

Entretien avec le Baobab Fidèle Anato

« Ôxoo ! Lâchez-moi maintenant», a-t-il crié avec exaspération

Prodigieux comédien de profession, le jeune artiste polyvalent béninois surprend plus d’un. «L’exquis » Fidèle ANATO alias le BAOBAB vient une fois encore d’innover, en signant en grand format de son nom un tout nouvel album vidéo de comédie musicale. Une compilation de textes philosophiques, de chants et de gestuelles magiques et séduisants faisant l’éloge et l’apologie de la femme. Fidèle Anato le corps qui parle, un corps qui vit et qui inspire.  Un home ave un parcours tant élogieux que mystique. De sa polyvalence et de son savoir faire, il innove pour plus de complicité de communion avec le peuple qu’il vénère tant. Dans cet entretien que nous lui avions accordé, l’artiste revient ici sur son parcourt et dévoile au grand public d’autres vertus qu’il regorge en sa qualité de "Baobab".

"Le fétiche baobab Fidèle Anato"
Adulé et admiré du public béninois qui est vraiment Fidèle Anato ?

Je suis le Baobab Fidèle Anato, aujourd’hui, parce que depuis le secondaire surtout, j’ai commencé par mener des activités cu7lturelles, surtout à partir des coopératives scolaires. J’ai surtout beaucoup évolué dans le domaine du folklore, ce que j’appelle aujourd’hui de la danse contemporaine. Parce que folklore devient trop péjoratif. J’ai donc évolué dans la danse authentique, le kota, le tchingoumin, le toba, etc, j’ai aussi fait beaucoup de théâtre, j’ai monté des spectacles au programme comme des spectacles d’auteurs aussi. Et une fois à l’université, j’ai intégré d’abord l’Ucae où j’ai été metteur en scène, et toujours dans la recherche de la perfection et beaucoup plus d’ouverture j’ai intégré l’Eace. Je m’ouvrais beaucoup plus à l’extérieur, j’ai connu ainsi Alougbine Dine, Ousmane Aledji, j’ai intégré progressivement le milieu professionnel et j’agissais en tant que amateur, en ce moment. Et après j’ai été autodidacte. Après j’ai été dans une école de formation au Burkina Faso. Le centre de formation et de recherche en art vivant, paix à son âme, du Directeur Jean-Pierre Kingane qui est un grand de l’Afrique. Je suis revenu au Bénin où j’ai intégré l’école internationale de théâtre du Bénin (EITB) première promotion. J’ai intégré le ballet national suite à un concours en tant que vocaliste. Je faisais de la percussion de 2000 à 2005, j’ai travaillé avec le ballet national, où j’ai connu beaucoup de continents, beaucoup de voyages. A l’issu de ces voyages j’ai décidé de mettre sur pied une troupe de percussion qui s’appelle les "Tambours du Baobab" qui évolue concomitamment   avec "Mafia-Théâtre", qui est ma section de théâtre, j’ai une association aujourd’hui qui s’appelle "le label Mafia" qui s’occupe d’une part du théâtre et d’autre part de la percussion, de la danse un peu et beaucoup plus de la recherche dans ce domaine. Aujourd’hui j’ai un album à mon actif qui s’appelle "Ici Maître" qui est le fruit de mes recherches dans  le secteur humoristique, car l’humour aujourd’hui partir un peu, il y a beaucoup plus du bouffon qui s’apparente à des sketches, mal fait. Donc moi j’ai voulu travailler dans un secteur un peu plus intelligent, plus professionnel et c’est cela qui a donné « Ici maître » que vous avez connu, et que le public a beaucoup aimé parce que je l’ai vendu à 6000 exemplaires, le 11 avril 2010 dernier.

Depuis peu, on te voit en prestation musicale lors des grands évènements. Aussi tu as un projet de lancement d’album musical. Fais-tu désormais de la musique ?

Là, je suis entrain de préparer un album musical que j’ai baptisé : « Ôxô » la parole, ce n’est pas de la musique crue, il y a toujours des textes choisis par dessein. Dans cet album, j’ai chanté la femme, en faisant remarqué que l’homme et la femme, sont tous féminins.  Parce que venus au monde par la femme, aussi j’ai fait remarquer que la plus vertueuse aujourd’hui c’est la femme. Ce qui m’a amené dans cette forme de musique c’est la frustration, j’ai des messages que je veux porter, et que je porte d’ailleurs dans les conférences, au palais des congrès, au Cic etc. Mais qui ne parviennent pas au peuple. Alors que moi je suis un homme du peuple, j’aime beaucoup la population, c’est d’ailleurs ce qui a justifié « Ici maître » qui est très nostalgique par rapport au vécu de tout béninois qui n’est pas forcement réservé à l’élite et la musique est un bon truchement pour atteindre cet objectif là, donc c’est pas la fin de ma carrière théâtrale, c’est aussi une originalité comme j’aime bien faire de l’humour et atterrir avec de la comédie musicale. Donc chaque fois, je fais sortir un album d’humour, un album de comédie musicale etc.

Est-ce que la musique n’est pas plus rentable aujourd’hui au Bénin ?

Evidemment, si je dois travailler pour le pécune ce n’est pas le secteur artistique, c’est d’abord la passion, et comme je l’ai dit un peu plus haut c’est une frustration que je guérie tout court. Ce n’est pas la recherche de pécune, pas du tout. C’est d’abord porté un message au cœur du peuple, au cœur du monde entier, évidemment ça va ramener l’argent, mais c’est pas ça mon premier but. Si c’était le cas je ne serai pas dans l’art. Je suis professeur de biologie, je pouvais continuer mes études faire le DEA, le doctorat, et ensuite devenir professeur d’université. C’est toute une réalité que la passion ne peut rouler que s’il y un peu de moyen pour l’accompagner. Si j’ai choisi le canard de la musique pour porter mes messages c’est parce que la musique porte plus loin les messages.

Fais-nous, un détail de ton prochain album ?

L’album « Ôxô » que je vais lancer le 23 avril prochain à l’espace Tchiff de Cotonou, est un album qui parle beaucoup, le nom de l’album déjà en dit loin. « Ôxô » en langue Sahouè qui est ma langue d’origine c’est l’exaspération « Ôxô !» mais aussi en langue fon on dit « Ôxo », laisse-moi me reposer. Donc c’est l’exaspération que je traduis à travers cet album parce que les béninois, ils aiment beaucoup plus égaliser ils ne veulent pas égaler. Pour avoir deux chocs je cris maintenant « Ôxô ! Lâchez-moi maintenant» et c’est en cela qu’il y a un morceau intitulé "djohodo". Je ne demande enfin de me laisser aussi m’épanouir. Je le dis souvent la parole peut truie et la parole peut détruire. J’ai fait aussi des morceaux très nationalistes, comme des morceaux sur l’indépendance, des morceaux sur le nouvel an, des morceaux sur la paix, c’est au total huit morceaux, huit clips et l’audio n’est pas en vente, parce que on ne me connaît pas encore sur la musique donc je ne peux pas vendre l’audio pour le moment.
Donc c’est un album vidéo que je veux lancer. « Ôxô » c’est un album vidéo de huit titres appétissants, bien réfléchis, bien conçus, bien écrit dont les scénarios sont proprement écrits par moi-même évidemment.
Ton regard sur le secteur artistique béninois ?

Le secteur connait aujourd’hui de l’effervescence, évidemment c’est l’histoire de l’art béninois qui continue de se tracer. Ce sont des périodes que tout le monde parcourt, aujourd’hui la vidéo est en effervescence, ça va passer au cinéma par la suite. Aujourd’hui le théâtre est entrain de tanquer à l’étape où le théâtre populaire est reconnu comme tout le théâtre. Mais nous on va travailler à ce que le théâtre qui nous ressemble et qui est tout a fait professionnel aussi bien que, les autres formes du théâtre soient aussi valorisés. Il faut réellement que le théâtre béninois puisse faire connaître le Bénin à l’étranger. Aujourd’hui moi, je n’ai pas de concurrence, parce que j’ai reçu une formation, donc j’ai un feu de bois, alors que beaucoup dans le domaine aujourd’hui ont un feu de paille. Avec le peu de savoir faire qu’ils ont, certain sur le terrain font déjà un travail remarquable, mais se serait encore plus fort et plus joli, si les gens reçoivent déjà des formations en écriture de scénario, mise en scène et autres. Pour cela, il est, tant que la Charte culturelle soit adoptée et que véritablement les gouvernants fassent quelque chose dans ce sens.

Depuis peu l’artiste béninois a un statut, quels sont tes sentiments ?

Je suis très content que cela soit pris parce que cela veut dire que ça ait un acte de naissance, et que cela soit effectivement appliqué, et que véritablement les gouvernants facilitent à divers niveaux le processus par ce que les processus administratifs au Bénin, on sait ce que c’est. Il faut qu’on accélère vite les choses pour la gloire du pays. Le Bénin est mieux vendu culturellement. L’art fera plus parlé du Bénin que le coton. J’étais en France la dernière fois, on m’a dit : « situe-moi le Bénin par rapport au Burkina Faso », et j’ai refusé, parce que c’est à Cotonou qu’il y a la mer et au Burkina Faso, il n’y a pas. Le Bénin ne se situe pas par rapport au Burkina Faso.

Un message à l’endroit du public ?

A mes fans, je demande de venir redécouvrir Anato, Le Baobab sous une autre forme. Disons dans un autre blason, que celui du théâtre. Qu’ils viennent me juger, qu’ils viennent me voir. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je les invite à l’ombre du baobab, je les invite à venir découvrir les vertus du baobab. Certes les difficultés sont là, mais je ferai un lancement qui sera à la taille de mes moyens. Je compte sur leur soutien à travers leur forte mobilisation à l’espace Tchiff de Cotonou.


mardi 5 avril 2011

Nayel; son single « Tochéminsinwé » en pleine ebullition


Nayel "la vedette en vogue au Bénin"
Depuis quelques semaines, le premier clip de la jeune gazelle de la musique béninoise passe sur toutes les chaînes de la place. De l’Ortb à canal 3 Bénin, en passant par Lc2 sans oublier de mentionner Golfe Tv. Et ceci avec la grande approbation des fidèles de ces différentes chaînes. On la voit partout comme une star du cinéma. Mais hélas ce n’est pas une star du cinéma mais plutôt celle de la musique béninoise. Une star que le public béninois vient de découvrir grâce à son single qu’elle a réalisé dans le souci de mieux faire la promotion de son premier album intitulé " Houenoussou", c’est-à-dire il est temps ou encore il est l’heure.   Avec ce nouveau single l’artiste vient au devant de la scène musicale en force. Un single qui témoigne de la richesse de l’œuvre artistique de l’artiste. Nadège Yellouassi de son vrai nom, est une admirée du public béninois et reconnue des professionnels de la musique. Une voie de la musique tradi moderne du bénin qui inspire force et admiration de part la quintessence de son travail. Elle ne manque pas d’inspirations et d’achèvements en témoigne la richesse des termes abordés dans son premier opus de huit titres. Riche en réflexion philosophique. En janvier 2011, Nayel a fait parler de la musique béninoise lors du lancement du dernier album de la Diva burkinabaise Cissao, au Burkina Faso, le 25 janvier dernier. Une première prestation internationale qui a ouvert les grandes portes à notre artiste puis que juste après la cérémonie des offres de contrats ont été proposés à la gazelle béninoise pour des événements culturels d’envergures dans la sous région.

Fesmma 2011


La mode africaine en célébration à Cotonou

C’est dans la salle des fêtes de Magic Land de Cotonou que le top du festival de la mode et mannequinât africain a été donné ce samedi 2 avril 2011. Occasion pour le promoteur et la présidente d’honneur de présenter aux hommes de médias les grandes innovations de cette troisième édition du Fesmma.
Du 26 au 28 mai 2011 prochain, durant trois jours et trois nuits, les projecteurs seront braqués sur plusieurs acteurs de la mode africaine.  Selon son initiateur, John Médard, ce festival panafricain vise essentiellement la promotion des jeunes stylistes et mannequins du continent africain. Sans oublier les acteurs de la mode. Un grand rendez-vous de la mode qui va connaître la participation effective d’une vingtaine de nationalités africaines et européennes. Avec des styliste de renoms. Au programme de cet rendez-vous inédit de la célébration de la beauté africaine à travers la mode, un défilé concours des jeunes stylistes et mannequins d’Afrique, expositions ventes, visites techniques, une soirée de gala avec remise des prix au lauréats. Un évènement qui s’organise à la facture internationale, c’est pour cela que des prix spéciaux ont été initiés pour cette année. Le comité d’organisation a dévoilé aux hommes de médias les grandes innovations de cette troisième édition du Fesmma. Des artistes de renoms tels que Fally Ipupa et Papa Wemba sont attendus lors de la soirée de gala. Par ailleurs ils ont rappelé au public et surtout aux stylistes et mannequins désireux de prendre part à cet festival que les inscriptions se poursuivent jusqu’au 25 avril 2011. Il faut noter que cette troisième édition a pour présidente d’honneur Mme Badirou, promotrice des "Perles Noires". Plusieurs prestations d’artistes ont meublé cette cérémonie de lancement avec au final un défilé de mode signé « Lolo Andoche » avec ses collections aux coupes impeccables.